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Le scénario de la « Grande Sécu » a ressurgi dans le débat public depuis quelques mois. Au regard des nombreux défis à relever (crise sanitaire, économique…), je ne crois pas que la réduction du champ d’intervention des mutuelles, voire leur sortie du jeu, au profit d’une étatisation, soit la bonne réponse. Notre système a besoin d’une meilleure articulation entre Assurance-maladie obligatoire et complémentaires santé.
Mais au-delà de cette question, je milite pour la prise en compte d’autres chantiers plus urgents, sur lesquels la réponse d’un Etat protecteur plus fort est attendue : l’attractivité des métiers du soin et de l’accompagnement, la prévention, les inégalités territoriales ou encore l’accessibilité à des professionnels de santé. Je milite également pour réinventer de nouveaux cadres de solidarité pour des populations qui sont aujourd’hui fragilisées et pour lesquelles l’accès à une mutuelle est difficile.
Des populations qui sont aujourd’hui fragilisées
La santé est un sujet essentiel qui a été largement au cœur de nos préoccupations ces deux dernières années, avec la crise sanitaire. Et même s’il est clair que l’Etat est au cœur de la solidarité nationale, il ne peut pas tout faire. C’est pourquoi notre modèle doit reposer aussi sur l’intervention d’acteurs mutualistes, non lucratifs, comme le Groupe VYV.
- Mais au-delà de cette question, je milite pour la prise en compte d’autres chantiers plus urgents,
- Mais au-delà de cette question, je milite pour la prise en compte d’autres chantiers plus urgents, sur lesquels la réponse d’un Etat. Protecteur plus fort est attendue : l’attractivité des métiers du soin et de l’accompagnement, la prévention, les inégalités territoriales ou encore l’accessibilité.
- pour des populations qui sont aujourd’hui fragilisées et pour lesquelles l’accès à une mutuelle est difficile.
- Mais au-delà de cette question, je milite pour la prise en compte d’autres chantiers plus urgents,
- Mais au-delà de cette question, je milite pour la prise en compte d’autres chantiers plus urgents, sur lesquels la réponse d’un Etat. Protecteur plus fort est attendue : l’attractivité des métiers du soin et de l’accompagnement, la prévention, les inégalités territoriales ou encore l’accessibilité.
- pour des populations qui sont aujourd’hui fragilisées et pour lesquelles l’accès à une mutuelle est difficile.
La santé est un sujet essentiel qui a été largement au cœur de nos préoccupations ces deux dernières années, avec la crise sanitaire.
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Retrouvez mon interview sur ce sujet, parue dans le Figaro

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